19 février 2007



Voila un an et un jour que ce blog existe. Débuté le 18 février 2006, il m'a apporté beaucoup de satisfactions. J'ai pu donner libre cours à mon imagination, "rencontrer" des gens très sympathiques, trouver un autre moyen de rire avec mes amis...J'ai aussi pu voir ce qu'était véritablement un blog. Je m'étais posé la question plusieurs fois, et comme il n'y a rien de tel que d'expérimenter une chose pour vraiment la connaître, je me suis lancé!
Les meilleures choses ayant une fin, il est venu le moment de mettre un terme à cette expérience. Je remercie tous ceux qui sont passés par ici, commentateurs et/ou lecteurs, ça a été un vrai plaisir!

06 février 2007

Souvenirs de maladie



Ce week-end, j'ai été malade. Pratiquement cloué au lit de vendredi soir à lundi, j'ai eu le temps de cogiter. Ca faisait longtemps que je n'avais plus été malade comme ça. Ca m'a rappelé des souvenirs, parce que c'était plutôt quand j'étais petit que je tombais malade. Il y a plusieurs avantages et désavantages à être malade:

  • On est faible, difficile de se déplacer...très chiant quand il s'agit d'aller aux toilettes, mais super pour se faire apporter un coca ou un thé.
  • Tout le monde s'occupe de vous, tout le monde est sympa avec vous. Quand j'étais petit, parfois même on m'offrait un magazine.
  • On peut regarder la télé toute la journée sans culpabiliser. Mes parents m'installaient même la télé dans ma chambre, pour la regarder depuis mon lit.
  • Problème: il y a toujours un moment de l'après-midi où il est impossible de regarder autre chose qu'une série policière allemande.
  • On participe très nettement à la déforestation via un usage de mouchoirs intolérable.
  • A propos de se moucher justement, le moment où, à force de le faire, le cartilage du nez devient apparent est un moment particulièrement désagréable.
  • On fait des rêves bizarres: dimanche je me suis levé de mon lit pour aller chercher un survêtement pour des gens qui avaient froid. Il faut ranger une fois le matin venu, c'est chiant. Petit, je faisais toujours le même rêve, indescriptible mais très étrange.
Et voila, rythmées par Arabesque, Rick Hunter ou les reportages animaliers, mes journées s'écoulent lentement. Il en va malheureusement de même en ce qui concerne la rédaction d'un mini-mémoire. Et ça, je n'en avais pas quand j'étais petit...

01 février 2007

La suite...

« Mon mea-culpa académique se fera à la session de juin. Je promets d’ores et déjà de me consigner à la restitution fidèle et intelligente du contenu du cours. »


C’est par ces paroles apocalyptiquement prophétiques que se terminait mon dernier mail. J’y faisais la promesse de cesser mes basses manœuvres visant à dissimuler ce que je ne savais pas sous le couvert de belles phrases, allégories, asymptotes et autres métaphores (cherchez l’intrus).

C’est donc bien décidé à me conformer à ce que l’on attend de la masse estudiantine que je me suis levé en ce matin du 19 juin 2004 à 06h00 pour passer mon examen de sociologie du travail en deuxième instance. Après les multiples péripéties qui sont habituellement le lot du voyage Chezmoi - UNIL, j’ai fini par atterrir dans l’auditoire B du CP1. Animé de toute ma bonne volonté régurgitatrice, j’ai ouvert le petit dossier qui se trouvait à ma place. Les Dieux étaient avec moi, me pardonnant du même coup le laïc aveuglement que je me borne à avoir lorsque je réfléchis au sens de ma vie. En effet, les deux questions posées étaient les mêmes – mot pour mot – que lors de la session précédente. A croire qu’une force à la fois mystique, mystérieuse et mysogine (certes, l’orthographe est faux, mais vous conviendrez que l’effet de champ lexical s’en trouve renforcé) s’efforçait de me mettre toutes les clés en main afin que je puisse réussir à atteindre le Graal du travail parfait, celui qui s’approcherait le plus de ce que l’on attendait de moi.

C’est donc la fleur au fusil et le cours en tête que je me suis attelé à répondre à la question de savoir pourquoi, alors que les formes atypiques d’emploi et la précarité salariale ne font qu’augmenter, on continue de considérer l’emploi fordiste (stable) comme la norme à laquelle on se réfère et quelles sont les profondes inégalités sociales qui en découlent. Il n’en fallu pas plus que cette tristement véridique affirmation pour que coule dans mon stylo l’encre de la révolte contre l’oppression phallocratique. Cela dit, j’eu tôt fait de réprimer la colère que je ressentais face à tant d’injustice. Je savais qu’il fallait que je fasse appel à toutes mes capacités de mémorisation et d’invocation afin de resservir au mieux les éléments du cours que je m’étais fait un plaisir d’assimiler. La chose ne fut pas aisée. Par moments, mes vieilles et mauvaises habitudes resurgissaient. De pernicieuses questions se pressaient dans mon esprit : « ne pourrait-on pas généraliser le phénomène et dépasser la réduction de tout ceci à une ségrégation entre les sexes ? », « certes, c’est ce que dit la prof, mais à mon sens, on pourrait voir ça autrement… ». Je vous ne le fais pas dire, voilà de bien dangereuses questions, que l’on serait bien avisé de chasser de son esprit lorsque l’on cherche la réussite universitaire. Heureusement, je m’étais préparé à ce genre d’éventualité. J’eu tôt fait de me ressaisir. C’est ainsi que, pour ne pas dire de fil en aiguille, de fautes de syntaxe en paraphrases je suis arrivé à terme de ce qu’il n’y a pas si longtemps j’aurais appelé un « honteux torchon sans âme, un brûlot insipide ». Et c’est d’un pas fier et décidé que je pus me frayer un chemin au milieu de ceux que je peux désormais appeler « mes semblables » pour me diriger vers les surveillants et leur remettre mon travail.

Et le résultat me direz-vous ? C’est avec une émotion non dissimulée que je vous annonce, chers amis, que mes efforts pour corriger mes vilains défauts analytico-critiques ont été récompensé. C’est en effet d’un 4.5 qu’a été sanctionné ce qu’il y a 6 mois j’aurais désigné comme une « lamentable merde d’étudiant lambda ».

L’honneur est sauf comme l’annonçait le titre de cette missive, il ne me reste plus qu’à remonter mon pantalon et tirer les enseignements de cette belle leçon de vie…

29 janvier 2007

Pendant ce temps...

J'ai pas vraiment le temps d'écrire autre chose que mon mini-mémoire en ce moment, alors je m'abaisse, c'est vrai, à faire un copier-coller d'un mail que j'avais écrit à mes amis pour leur faire part de certaines de mes considérations sur l'évolution du milieu universitaire. Considérations qui sont malheureusement toujours d'actualité:

Chères amies, chers amis,
Je me permets de vous écrire pour vous faire part d’une bien triste nouvelle. J’ai été découvert !
Je m’explique : je ne vous l’apprends peut-être pas, mais il existe, à l’Université de Lausanne et j’ai bonnes raisons de croire qu’il y en a ailleurs, des gens qui ne doivent leur réussite qu’à leur style d’écriture. En effet, lesdits étudiants dissimuleraient le manque de profondeur de leur propos à l’aide d’un style rédactionnel que je qualifierais de ronflant, emphatique et sentencieux. Je dois bien avouer, mais vous l’aurez certainement déjà remarqué, je me trouve en première ligne dans les rangs de cette lie estudiantine. Oui, vous avez bien lu, je suis une sorte de super-héros de la médiocrité se dissimulant sous les traits « Clark Kent-iens » d’un étudiant ordinaire et obtenant d’acceptables résultats à la sueur de sa seule et unique capacité de mémorisation. Qu’un seul d’entre vous ose dire qu’il a pensé, ne serait-ce qu’un instant, que je n’étais autre que l’une de ces fières et créatives matrices à ingurgiter les cours et en recracher les brillantes démonstrations – si brillantes qu’elles restent encore et toujours les mêmes au fil des ans, mots pour mots – à l’heure de l’évaluation. Détrompez-vous chers amis, je ne suis malheureusement pas en mesure de me livrer à de telles prouesses intellectuelles. Réduit par mes propres limites à élaborer une argumentation plus « personnelle », tristement réflexive et somme toute pathétiquement interdisciplinaire, je fut contraint de développer un style pompeux, apte à dissimuler la pauvreté de mon propos. Fort de mon expérience, acquise au Gymnase de Nyon et finalement sanctionnée par un « x-filesque » 6 à la dissertation d’examen que j’accueillis comme une sorte de passe-droit ad vitam aeternam pour la médiocrité, je crus que de telles basses manœuvres pourraient avoir cours également en milieu académique en toute impunité.
C’était sans compter sur la perspicacité de Mme Françoise M-L, professeurE de sociologie du travail. En effet, seul son regard avisé autant qu’inquisiteur était en mesure de démasquer la supercherie. Seule une « professeure-associée », secrétaire de formation ayant courageusement abandonné ses secrets et utopiques espoirs de fonder une famille pour reprendre ses études à l’approche de la trentaine, avait les capacités de mettre à jour la mesquine tromperie que nombreux de ses collègues n’avaient pas même su ne serait-ce qu’imaginer. Que dire du ballot Kilani, professeur d’anthropologie et doyen de la faculté, se laissant aveugler par la tournure grandiloquente de mes phrases pour approuver mes viles manœuvres d’un 6 scandaleux ? Et les peu scrupuleux Beaud et Clemence, monuments de la faculté des Sciences sociales et politiques, se laissant enivrer par l’emphase de mes mots, éludant du même coup le vide intersidéral de ma pensée pour finalement m’attribuer chacun un 5.5 pour les travaux que je leur ai présenté ? Enfin et plus récemment, citons encore le crédule Métraux, pourtant professeur de psychologie, qui, confronté à une avalanche d’inepties, ne se rendit pas compte de la platitude de mes élucubrations et ne trouva rien de mieux que de me donner la note maximale, un 6 qui pour certains esprits avisés doit sonner aussi faux que la nomination de Bush et Blair pour le prix Nobel de la paix.
Heureusement, tout cela n’aura plus lieu. Celle qui mériterait d’être nommée RecteurE a su pointer le doigt sur une bien triste réalité : je ne suis capable que de formuler des phrases compliquées, n’ayant pour autre but que de cacher le faible niveau de ma réflexion. Dès lors, sa plume mue par le bras de la Justice implacable sanctionna mon torchon d’un 3.5 bien mérité et synonyme d’échec. Et tel le « Z » de Zorro, elle signa d’un retentissant et révélateur « exercice de style qui en jette…insuffisant ».
L’honneur du monde universitaire est sauf. L’étudiant de type HEC-Droit-EPFL a encore de beaux jours devant lui.
Mon mea-culpa académique se fera à la session de juin. Je promets d’ores et déjà de me consigner à la restitution fidèle et intelligente du contenu du cours.
Longue vie à Mme Françoise M-L, qui restera dans les mémoires comme celle qui fit éclater la vérité au grand jour.

La suite au prochain post...

23 janvier 2007

23 jours, déjà



Voila 3 semaines environ qu'on est en 2007. La plupart des gens prennent des bonnes résolutions pour la nouvelle année. Pas moi. Pour la simple et bonne raison que je sais très bien que je ne vais pas les tenir. J'ai malgré tout pensé à certaines que je pourrais prendre:

  1. Arrêter de procrastiner (remettre à demain etc. vous connaissez la chanson).
  2. Faire plus de sport.
  3. Arrêter de boire et de fumer.
  4. Essayer de faire tenir un paquet de biscuits d'Ikea plus de deux jours.
  5. Obtenir un 6 pour un de mes travaux universitaire.
  6. Arrêter de mettre des photos dégradantes pour les femmes sur le blog.
Mais je me connais suffisamment bien pour savoir que si je me fixe ça comme objectifs, voici ce qu'il va se passer dans ma tête:
  1. "Bon, c'est pas très important que je le fasse aujourd'hui, j'ai tout le temps demain..."
  2. "Ok, alors lundi j'en fais déjà, mardi aussi, pareil pour le mercredi, jeudi idem, vendredi j'ai l'entraînement, samedi et dimanche, match, reste plus tellement de jours de libre du coup."
  3. Bon bon, c'est vrai, c'est déjà le cas, c'était histoire d'être sûr de pouvoir tenir au moins une résolution.
  4. "En même temps, un paquet fait à peine 600g, ça fait tout juste 300g par jour..."
  5. "Mouais, bah, si j'ai 4.5, j'aurais le même papier au final de toute façon. Où est-ce que j'ai mis le jeu de foot?"
  6. Voir point 1.
Les réactions probables à cet article:

- "Moi, j'ai décidé de publier mes nouvelles dans un joli livre en vrai papier." L'Arpenteur
- "J'ai prévu d'arrêter de dire des conneries sur les vieux." Pascal Couchepin
- "Je promets d'arrêter de dire des conneries tout court" Elizabeth Tessier
- "Moi je vais lutter contre le réchauffement climatique...on arrête de rire au fond!" Georges W.
- "Je promets de m'intéresser un peu au sport." J.-F. Deve***, commentateur sportif anonyme
- "T'intéresser à quoi?" P.-A. Du*uis, nom connu de la rédaction

18 janvier 2007

Régression linéaire


On va faire un petit jeu qui s'appelle "Devinez quel jour j'ai posté une vidéo sur le blog?!". Le premier qui trouve juste aura gagné...je sais pas moi...un truc qui me coûte pas trop...le droit de choisir la photo ou la vidéo du prochain post, voila. Ca ne m'engage pas à grand chose. En même temps, avec un concours aussi facile, faut pas s'attendre à gagner des millions. On n'est pas sur TF1 ici.
Sinon, en temps normal, vous êtes entre 100 et 120 internautes journalier à passer par ici. Ce qui est bien mais pas top. La plupart des visiteurs via Google arrivent ici en cherchant les vidéos des Gros Cons, mais aussi des informations sur le Hanjie. La charmante Jessica Canizales me vaut quelques visites. Au chapitre des insolites, la lettre "t" (mais ça aurait pu être le K) m'a valu 11 visites ces 15 derniers jours.
J'avais dit qu'ici c'est pas TF1, mais finalement j'ai fait un post en reprenant d'anciens articles...A quand le bêtisier de fin d'année sur Polyxions?

16 janvier 2007

Interlude


Je l'avoue, je n'ai absolument pas le temps de faire autre chose que ma présentation sur la couche d'ozone en ce moment...Pas le temps, vraiment? Bon ok ok, j'ai regardé un peu la télé l'autre jour et je suis tombé sur Les Chevaliers du Zodiaque!!
Incroyable dessin animé...j'adorais ça quand j'étais petit, mais là j'ai tenu à peine 3 minutes. La BD que j'ai mis ici prit alors toute sa dimension pertinente...

09 janvier 2007

Sauvez la forêt

J'ai pas pour habitude de me plaindre des méfaits de la bureaucratie, mais faut pas non plus exagérer! Ce matin, j'ai dû envoyer un questionnaire, un code de déontologie lu et signé, ainsi qu'une photocopie de ma licence. Cela en réponse à un courrier que j'avais reçu chez moi de la part de ma faculté (Sciences Sociales et Politiques). Pas de quoi péter un plomb me direz-vous. A première vue non, mais si on y regarde de plus près:

  • On me réclame une photocopie de ma licence, alors que la première chose qu'on m'a dite lorsqu'on me l'a donnée c'est que je pouvais en obtenir une autre auprès de ma faculté si je la perdais.
  • On me fait signer un code de déontologie après 4 années passées dans cette université: j'en déduis donc qu'avant j'étais autorisé à faire du copier-coller à tout bout de champ sans mentionner mes sources.
  • J'ai reçu un courrier à mon domicile dans lequel on me demande où j'habite.
  • Ce courrier m'a été envoyé par ma faculté, et on m'y demande dans quelle faculté je suis inscrit.
Bref, je pose une question: comment se fait-il que des revendeurs de viagra du Myanmar ont mon adresse e-mail, alors que mon université me demande comment je m'appelle?

08 janvier 2007

Les Infiltrés


Extrait de conversation sur le tournage du film "Les Infiltrés", que je suis allé voir la semaine passée:

- "Ok les gars, on a fait un bon film, on a bien travaillé, je suis content. Reste plus qu'à faire une bonne fin et c'est dans la poche!"
- "Euh chef on a un problème..."
- "Quoi?"
- "Ben c'est-à-dire que le type qui s'occupe du matériel s'est planté et il reste plus que 5 minutes de pellicules."
- "Mmm fait chier...bon, ok, on va se débrouiller...on n'a qu'à dire que tout le monde tue tout le monde en 5 minutes et ça fera la fin. Je suis Martin Scorcese, les gens n'oseront pas dire que c'est de la merde."

03 janvier 2007

Nouvel-An

A l'occasion de ce Nouvel-An, j'ai eu l'occasion de vivre une très bonne soirée. Certainement pour le repas chez ma "belle-famille", assurément grâce à l'invitation de Caro et indubitablement suite à la dernière virée sur Lausanne. On est allé retrouver des amis au "Buzz". "Boîte" très sympa, certes, mais quand même, y a des trucs que je peux juste pas:

  • Avant d'arriver, je me change un peu: chaussures noires, chaussettes de la même couleur et évidemment ceinture noire-qui-va-avec-les-chaussures. Ma copine est sublime. On peut pas ne pas rentrer.
  • A l'entrée, un videur costard-cravate-oreillette-liste d'invités. On connait quelqu'un, alors on rentre gratuit. En descendant, je me dis que ça doit être bien "VIP" comme boîte pour qu'il y ait un pareil service d'ordre à l'entrée et une liste d'invités. Tout ça avant les premiers constats une fois arrivés en bas.
  • C'est pas une boîte, mais un bar, qui ressemble fortement à un bar de montagne où l'on va finir de transpirer après une journée de ski.
  • Il y a une buse empaillée et une horloge en bois.
  • Je suis le seul à ne pas être en baskets.
  • Ma copine est la seule black, et souffre beaucoup de la musique. Moi ça me fait rire mais faut pas non plus exagérer. De la musique sympa oui, mais rien de pire quand tu es entouré de types bourrés que d'avoir à les entendre vomir Louise Attaque ou Stairway to Heaven.
  • Par contre tous les deux, on rigole beaucoup en regardant certains danser. Elle parce qu'elle sait danser, moi parce que j'aime bien rire de ce que je vois.


29 décembre 2006

Voila voila...



Le premier round des fêtes est passé. Ca s'est bien passé, je dois l'avouer. J'ai quelques constats à émettre malgré tout:

  • Demander (et recevoir) le jeu de manager de foot alors qu'on a un immense bouquin en anglais à lire sur les politiques visant la protection de l'ozone: pas bien.
  • On continue à m'offrir des bons que je n'utiliserai pas. Ou plutôt, que j'oublierai d'utiliser.
  • C'est quand même pratique de pouvoir manger de tout en quantité monstrueuses sans prendre un gramme...
  • ' chier ces emballages de cd!
C'est intéressant, non?

21 décembre 2006

Environnement



Je fais un DESS sur le développement durable, alors il faut bien que je prêche la bonne parole de temps en temps, non?